Bruno Davenel était ingénieur informaticien. Un jour, sa femme, assistante maternelle,
lui fait part des difficultés qu’elle rencontre avec ses collègues pour trouver des poussettes adaptées à leur profession.

Il ne lui en faut pas plus pour se lancer dans l’aventure et changer de métier.
En septembre 2021, il crée son entreprise de location LOC Pour nos petits loulous.

Il démarre prudemment en rachetant des poussettes d’occasion qui ont très peu servi et
se fait connaître sur des groupes Facebook de mise en relation de parents. Le succès est immédiat.
« Les poussettes multiplaces sont chères, même d’occasion.
Et suivant l’âge des enfants dont elles ont la garde,
les assistantes maternelles ont parfois besoin de changer de poussette en cours d’année.
Un système de location est donc idéal pour elles », explique Bruno Davenel.

Des poussettes haut de gamme et des services adaptés

 

« Il n’y a pas de poussette idéale, ça dépend de l’usage, » précise Bruno Davenel.
« J’achète des poussettes haut de gamme, avec une préférence pour deux marques françaises.
Elles répondent à toutes les normes d’hygiène et de sécurité. Quand je les récupère, elles sont entièrement nettoyées et vérifiées.
Et comme je les achète neuves, je bénéficie du service après-vente des marques. »

LOC pour nos petits loulous propose des contrats de location d’un ou de six mois
« pour pouvoir adapter les poussettes à l’évolution des enfants »​.
Le matériel peut être retiré par le client à Châteaubourg, mais si la distance est importante,
il est possible d’organiser un rendez-vous à mi-parcours.

« J’aime bien rencontrer directement les personnes, pour savoir qui va utiliser mes poussettes.« ​

Le retour peut s’effectuer par Cocolis, un service de livraison de particulier à particulier.

Le berceau d’un métier précurseur

Bruno Davenel n’en revient pas de son succès. Son parc comprend plus de cinquante poussettes, presque toutes louées.
Depuis son installation en 2021, plus d’une centaine d’assistantes maternelles ont fait appel à lui en Bretagne et dans le grand ouest.
Des gens appellent de partout pour lui demander s’il a des succursales.

« Je suis pionnier dans le domaine », ​s’amuse Bruno Davenel.
Mais quand on lui demande s’il veut développer son activité, il répond :
« Pas pour l’instant. Mon but est d’avoir ma liberté, un métier qui me plaît, et du temps à consacrer à ma famille.
C’est surtout la qualité de vie qui m’importe. »

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